Quelques années que je n’étais pas revenu à Kuala Lumpur. Ca n’a pas beaucoup changé : toujours ce brassage des cultures (indiens, malais, chinois), cette impression de prospérité, comme Singapour, la grande sœur dissidente.

Je connaissais donc mais il a fallu que je me rafraîchisse la mémoire, avec l’aide de quelques camarades du forum.

J’ai surtout visité les spas, qui sont nombreux, j’ai un peu cherché avec wechat et je suis allé dans un des fameux bars à filles de Kuala Lumpur, repartant seul en pensant revenir sans imaginer que ça ne serait pas le cas.

Je ne préciserai pas les adresses : vous trouverez facilement en préparant votre voyage, ils sont tous dans Bukit Bintang, accessibles sans voiture.

Mon avis divergera sans doute un peu de ceux qui ont écrit avant moi (et même de ceux qui n’ont pas reporté leur expérience et avec qui j’ai discuté) ; mais tous les avis sont bons (à entendre tout du moins ) !

Golden spa, hôtel Soleil
Mon préféré sans doute.
Pourtant, les chambres sont un peu miteuses, la moquette étant très douteuse. C'est un petit spa : on peut se restaurer succinctement et utiliser sauna et bassins d'eau (compris dans le prix) 188 RGT, 45 mn, 1 coup (sur la base de 385-392 RGT pour 100 E) soit environ. 48 E. Happy hour avant 18h (20 RGT de moins).
Ici, à la différence d'autres lieux, les prix ne changent pas en fonction des nationalités. La fellation se fait sans capote.
Une quinzaine de filles : chinoises, thaïes, vietnamiennes, indonésiennes
J'y suis allé 6 fois, j'ai choisi 5 fois avec une satisfaction maximale à chaque fois.
Une thaïe : 26 ans. Joli corps, gueule très sexy, mouillait, très excitante. Elle m’a dit qu'elle repartait le lendemain à Bangkok : en effet, je ne l'ai plus revue.
Une autre thaïe qui ressemblait davantage à une chinoise. Très bien aussi. Mouillait énormément, j’ai trouvé très excitant qu’elle fasse preuve de beaucoup de pudeur avant la douche, lors du déshabillage.
Plus tard, une autre thaïe : belle femme, très grande (1,72m), robuste, scupturale, pas grosse mais un peu empatée au niveau des hanches. Très bien, même si un brin professionnelle. Elle était mal à l'aise en levrette, ce qui m’agace toujours un peu. Elle m'a demandé un pourboire : je lui ai donné l'équivalent de l'économie de l'happy hour .
Une chinoise presque en transe mais pas très jolie ni très bien foutue. Mais si enthousiaste !
Une indonésienne : très beau souvenir. Fille très mince, déjà mère. Beau visage. 26 ans. Très belle partie de jambes en l'air. Lorsque je l'ai choisie, en partant vers la chambre, elle a tiré la langue à l'une de ses collègues, ayant l’air de dire « je l’ai eu ».

Spa E2
J'y suis allé le soir de mon arrivée, après le Golden, pour repérer le terrain, en reconnaissance. A environ 20 mn à pied de l’hôtel Royale Bintang, dans Bukit Bintang. On entre le soir du côté gauche, vers le parking voitures.
Ca ressemble davantage à un spa : possibilité de troquer ses vêtements contre l'équivalent du peignoir de nos FKK ou des saunas de Macau. La nourriture est plus variée. Le soir, il y a pas mal de monde.
Chaudement recommandé par R. qui avait lui-même lu un post emballé sur ISG. Pour ma part, j'ai moins aimé. J'y suis allé 4 fois et j'ai choisi 2 fois. J'ai regretté de voir un peu toujours les mêmes 15 ou 20 filles.
Les tarifs sont différents selon la nationalité : chinoises et mongols sont les plus chères (env. 260 RGT).
Le 2ème soir, j'ai choisi une chinoise : elle était anthologiquement nulle (lymphatique, gloussante…). Elle ne s'en rendait même pas compte. Et bien moins jolie que ce que j'avais cru entre apercevoir dans la semi-pénombre. Et comme prévu, selon la loi d'airain que les pourboires sont toujours demandés par celles qui le méritent le moins, j'ai refusé de lui verser une somme supplémentaire.
Le 3ème soir, j'ai choisi une thaïe. Très joliment foutue dans son short en jean, des formes juvéniles. J'ai commencé à m'inquiéter quand elle a commencé à s'exprimer avec un accent américain très marqué. Un gros tatouage au bas du dos qu'elle avait tenté d'effacer aussi. Une discussion assez cordiale mais sans chaleur. Et pourtant, ça a été magnifique du début à la fin. Elle m'a vraiment fait l'amour. Fellation avec préservatif comme la chinoise. Ce qui semble être la procédure dans ce lieu.

Sky River Aromatherapy & Reflexology
179, Jalan Bukit Bintang à l'arrière du Mall Fahrenheit 88, près du Mall Pavilion. Un petit spa où il est aussi possible de se restaurer. une quinzaine de filles, chinoises ou thailandaises. J'y suis allé 3 fois et j'ai choisi 2 fois : une chinoise de Shenzhen, très fine (presque trop pour moi mais T. et S. n'étaient pas disponibles ), qui a été correcte mais peut-être qu'elle ne me plaisait pas assez. Plus chère à 250 RGT parce que chinoise... Et une thailandaise, avec un appareil dentaire, fille ravissante, aux belles formes qui m'a procuré de très bons moments.

Green Elephant
J'y suis allé pour retrouver N., de passage comme moi à Kuala Lumpur (N. a tellement peur de sa compagne qu'il me donne chaque année rendez-vous dans des endroits improbables : en 2012, dans une "petite" ville du sud de la Chine, en 2013 au bord de la Spreh devant de l’épaule fumée, en 2014, dans un "buffet" d'une petite ville frontalière de la Catalogne).
J'y suis allé 2 fois. Il y a des années, j’y suis allé très souvent. A l’époque, on pouvait encore y rencontrer des indiennes. Très rares (et très laides) maintenant. Assez peu de filles disponibles lors des présentations car je pense très fréquenté. Pour ce que j’en ai vu, distribution moyenne : une malaise souriante, très « girl next door étudiante en informatique » et une autre fois une indienne pas très jolie.

Deluxe Spa
Sous-sol du Fédéral. Là aussi, un endroit que j’avais « beaucoup » visité au cours de la 1ère décennie du siècle. 2 visites, je n'ai pas été séduit par ce que j'ai vu. Le dernier soir, de retour dans ma chambre vers minuit et demi, je me suis dit que peut-être la chinoise fine aux très longs cheveux, qui semblait avoir bonne réputation, pourrait m'aider à m'endormir . Je suis donc aussitôt redescendu et en 5 minutes j'étais dans le spa. Ladite chinoise était là et j'ai acquitté un supplément : les chinoises sont plus chères ici aussi (why ?? ), ce qui est aussi agaçant. 248 RGT. la fille était sympathique mais cela nous est indifférent. Elle était manifestement fatiguée, elle a tout fait très vite et j'avais beau essayé de ralentir le rythme, la magie avait disparu et ça a été un coup baclé.

Les équipes de filles dans ces spas sont limitées à ce que l'on voit : pas d'équipe du soir. J'ai vraiment l'impression que les effectifs sont restreints aux 15-20 filles qu'on voit entre midi et 2 heures du matin. Ceci explique qu'elles soient épuisées tard dans la nuit.
N. s’est bien amusé avec une japonaise (qu’il a aussi payé au prix fort mais c’était un bon investissement) que je trouvais un peu replète et d'autres aussi. Cet endroit ne m'a plus amusé comme il y a quelques années. Plus d'indiennes ou de malaises non plus : le boss commun du Deluxe et du green Elephant les aurait transféré au Green Elephant mais pas de quoi grimper aux rideaux.

Hôtel Nova
Je l'avais fréquenté il y a quelques années. Tout proche de Jalan Bukit Bintang : sur Jalan Alor. R. ne m'en avait pas parlé. je suis allé voir s'il existait toujours le jour de mon départ vers 15 heures. 6 filles, 188 RGT. 2 filles possibles. J'ai choisi une très jolie vietnamienne de 23 ans, très bien foutue, des hanches, de belles fesses, avec une très jolie poitrine en poire avec de belles aréoles (handsome). Des chambres en plus très convenables dans cet endroit. J'ai pris beaucoup de plaisir à la baiser.

Je suppose que le spa de l'hôtel tout proche, le Corona, fréquenté aussi vers 2005-2010 doit aussi encore exister. ce qui fait quelques possibilités à Bukit Bintang.

Je ne suis pas retourné au spa de la tour HSBC : le Genesis. Mon expérience antérieure n’ayant pas été convaincante. Idem pour le Mid Valley Megamall où se trouve un spa réputé.

A signaler, un contact intéressant sur wechat : une agence d'escort en incall et outcall : pour l'incall, Pearl International hotel, à Petaling. Mais à plus de 10 km de ma "base" : ce qui me tentait, c'était une coréenne à 300 RGT (soit quand même 75 € pour 45 mn) mais je me méfie des photos isolées (même si l'on peut refuser et défrayer pour le transport). Ou alors à l'hôtel pour 800 RGT, 2 heures. Trop cher (plus de 200 E !!).

Je n’ai pas exploité les possibilités du Beach club : un bar très élégant aux tarifs honnêtes, à la distribution féminine hétéroclite mais prometteuse. Un bar à mille lieux du Manila Bay Café de Manille et plus encore du Walkabout de Phnom Penh…

Des filles aussi, de tous âges, le soir mais en journée aussi sur Jalan Bukit Bintang qui proposent des massages, dont on ne doute pas qu'ils peuvent déraper . Une seule fois, j’ai été tenté par une spectaculaire thailandaise qui devait dépasser son mètre 70 : je lui ai même demandé si elle n’était pas… un mec… Eh bien non. Je ne l’ai pas revu le lendemain.

Je suis décidément vraiment un ex-sinophile, y compris à Kuala Lumpur : les chinoises, très nombreuses, plus onéreuses, n'y sont à mon avis pas très recommandables. Ou plus probablement, j'ai été mal habitué du temps où j'étais un sinophile qui allait cueillir ces jolies fleurs là où elles grandissent . Tempus fugit...

Pour conclure : Kuala Lumpur est tout à fait recommandable pour quelques jours avec tous les agréments souhaités... malgré le change moins favorable.

Oubliez l'Ouzbekistan.
Vous pourriez aussi vous rendre en Arabie saoudite ou en Inde : c'est sans doute très semblable.

Encore une illusion qui s'évapore.
Les récits de Prosal sur Youppie et ISG avaient enflammé quelques esprits il y a 3 ans.
Mais pas une seule nouvelle depuis cette époque sur ce pays du "Far East". Pas un seul valeureux russophone  qui n'ait tenté de s'y frotter.

Pas de regards langoureux comme au Maroc.
Pas une seule sollicitation dans la rue ou une proposition de la part d'un chauffeur de taxi : même sur la place Al-Marjah à Damas  il y a 12 ans
Pas d'infrastructure comme dans d'autres pays musulmans d'Asie : je pense aux saunas de Malaisie dans les hôtels.
Pas de jeunes dames à la recherche de sponsors comme sur rambler ou mamba, pour l'Ukraine par exemple
Les hôtels refusent d'accueillir les couples non mariés : c'est un pays musulman, en effet.

J'avais vu en préparant mon voyage que les nouvelles n'étaient pas bonnes ces dernières années. J'avais donc anticipé et réorienté mon séjour vers du tourisme pur (que c'est chiant) et je n'ai donc passé que quelques jours à Tashkent.

J'ai interrogé trois chauffeurs de taxi : deux d'entre eux ont feint de ne pas me comprendre ou pus vraisemblablement n'avaient rien à dire. Un troisième, vieil arménien, m'a dit qu'il ne prendrait pas le risque de conduire un touriste étranger vers des endroits devenus clandestins. D'après lui, on braverait la police ouzbeke et on aurait à faire avec la pègre ouzbeke, ce qui peut-être délicat pour un non-russophone. En plus, dans ces pays, tout ce qui est interdit coûte cher. La police contrôlait il y a quelques temps la prostitution dans des saunas dans les hôtels : ceux-ci ont ensuite été fermés par la police qui apparemment ne tolère plus la prostitution "visible". Il m'a dit que tout arrivait maintenant dans les clubs, ce que j'avais aussi lu sur ISG.
Prosal n'avait rien fait miroiter. Tout au plus, n'ai-je pas ressenti les mêmes émotions dans les endroits publics, dans le métro, au restaurant. Des jolies filles, oui, mais comme dans toute grande ville (j'ai passé une journée à Prague au retour : là on peut dire que le nombre de jolies filles est .... anormal !!). Oui, des types très différents : une majorité de type turc, mais aussi des profils coréen ou mongol, des slaves brunes ou blondes mais pas un nombre invraisemblable de canons.
Un soir, je suis allé dans un club près de la place Navoï : pas mal de filles, mais pour la plupart, bien évidemment des non-prostituées. D'après ce que j'ai compris, c'est à peu près 200 dollars et on s'en remet à la fille pour le lieu. La veille de mon départ, c'est pas simple curiosité que j'ai fait la démarche, je n'avais envie de vivre un plan foireux ou pire, 12 heures avant de prendre l'avion.
Le Diplomat du Grande Plazza avait fermé. Ce lieu était réputé piour abriter des dames de petites vertu : il paraît que la police ouzbeke est plutôt rabat-joie et ferme un établissement quand il commence à avoir trop d'éclat.
Je me suis fais refoulé du FM bar, sur Broadway (près de la place Amir Timur) : est-ce parce que j'ai eu le culot de demander les tarifs au gorille ? Ou vraiment, en ce samedi soir, déjà trop de monde dans le lieu ?  Un coup d'oeil à l'intérieur ne m'a rien fait regretter : un endroit sombre comme un four et des quelques silhouettes féminines chaloupant autour de tables. On peut sans doute s'y amuser à 2 copains mais seul, je m'y serais ennuyé.
Peu importe que je n'ai rien fait en Ouzbekistan : je savais que le contexte était peu favorable à nos activités. Je m'attendais simplement à voir quelques signes, quelques indices d'une vie souterraine accessible mais je dois dire que pour une fois, j'ai vraiment eu le sentiment qu'il n'y avait rien à faire.

Enfin le Manila Bay Café, ou MBC, ex-LA Café


Ladies and gentlemen, le Manila Bay Café, ou MBC, le nom qu'a pris le LA Café quand il a ouvert à nouveau (fermeture par le maire de Manille : ça arrive aussi là-bas ).

On avait lu partout que c'était l'endroit incontournable de Manille, dans le quartier d'Ermita, le quartier des "cheap prostitutes" comme me l'a dit une fille sur DIA... Ca donnait le ton .

Nous avons choisi un hôtel à distance convenable de ce lieu : en moins de 10 mn à pied, nous pouvions faire le trajet. Plusieurs hôtels aux alentours peuvent convenir.

Le jour de notre arrivée, on prend possession de nos chambres, tout à fait convenables, ni chères, ni bon marché (un peu moins de 50e par nuit) et on se rend illico vers ce lieu de débauche ouvert 24 heures sur 24 , 7 jours sur 7 et qui hébergerait des dizaines de filles (seulement après 19h, avant c'est plus désert bien évidemment).

Même si j'ai essayé de me faire à l'idée de passer beaucoup de temps dans un bar à bière, en entrant dans ce lieu avec T., après un premier tour de prise de contact, devant ma bière, je sens que je vais avoir le bourdon...

L'endroit n'est pas vaste, sur 2 niveaux (à l'étage, en soirée uniquement), avec une arrière-salle au rez-de-chaussée. C'est sombre, enfumé, en arrivant on fait baisser la moyenne d'âge de la clientèle masculine et toutes les scies rock des années 60 et 70 passent en continu. Si ce n'était que ça : les filles qui m'entourent, à première vue, me dépriment un peu . Le niveau semble bas...

T. est plus opportuniste que moi et rapidement trouve une fille à son goût. Je déciderai ce premier soir de ne pas forcer les choses et je raccompagne T. et sa compagne jusqu'à l'hôtel où on prend ses coordonnées avant qu'elle ne disparaisse avec T..

Le deuxième soir, on paye une petite somme (100p.) pour monter à l'étage écouter un orchestre débiter les mêmes scies rock seventies. Je l'ai proposé à T. car sur un site, on indiquait qu'il y avait davantage de jolies filles à l'étage et comme je suis candide...

Cette plus forte proportion de jolies filles ne me frappe pas alors que j'écoute une énième resucée de "Hotel California" (ou "Highway Star" ?). Là encore, T., bonne nature, met la main sur une fille qui lui tape dans l'oeil (sa "régulière" du séjour, concept qui m'est inconnu ).

Je remarque toutefois une jeune dame qui titille ma moelle épinière. Je l'aborde pour discuter un peu et elle réclame 2500p pour un ST. Pas complètement emballé, je ne donnerai pas suite même après sa proposition de conclure à 2000p. (ce que je ferai pourtant les jours suivants). Je ne suis pas prêt à céder, pas assez motivé.

La soirée passant, ce premier étage est envahi par des américains enrobés (quel cliché !), des japonais généreux (et encore !). T. conte fleurette, je décide de faire un tour au rez-de-chaussée : en faisant ce tour, je remarque une fille, je l'aborde un peu à la hussarde en lui demandant très vite son prix. Je vois qu'elle est surprise par mes manières : c'est poli mais sans beaucoup de bavardages . Elle accepte 1500p. pour un ST.

Nous repartons à 4. Comme toutes les autres qui suivront, c'est une mère célibataire. Elle a un joli corps, des fesses très rondes, un visage assez attrayant. Elle demande avec une amusante curiosité (davantage féminine que professionnelle) à voir mon sexe avant la douche. Faire l'amour avec elle sera très agréable même si physiquement, elle ne représente pas mon idéal. Elle ne se dépêchera pas de partir et s'attardera longuement sur le lit, nue, avant de quitter les lieux. Là aussi, c'est un trait positif assez commun à toutes les rencontres. Première expérience appréciée .

On retournera là-bas bien évidemment touts les jours, voire 2 ou 3 fois par jour, parfois repartant bredouille.

La deuxième rencontre sera une fille "de l'après-midi" : sans doute 1m70, la peau très mate, presque une indienne. Une fille avec du caractère qui elle aussi acceptera 1500p. pour un ST (plus une boisson qu'on doit parfois payer pour 200 ou 300p. : elles doivent avoir consommé avant de sortir, ce qui n'est pas impossible). Bonne partie de jambes en l'air. Cette femme m'explique ensuite qu'elle vient une fois par mois pour payer l'école de ses enfants : elle me raconte qu'elle a grandi dans la rue et veut éviter ça à ses enfants. Elle me décrit aussi sa maison à 2 heures d'Ermita qui aurait la taille de ma chambre d'hôtel. J'ai vraiment l'impression qu'elle ne me dit pas ça dans un bon anglais non pas pour susciter ma pitié et avoir plus d'argent. Mais je me trompe peut-être...

Mes 2ème et 3ème excellents souvenirs de Manille sont issus du MBC. Le soir où nous sommes allés au Havana Café, nous avons échoué un peu ronds après minuit au MBC. Une fille s'est approchée de moi : pas mal mais qui ne déclenchait rien en moi. R., en pote compatissant (p..., serais-je jamais assez généreux pour avoir ce comportement à son égard ? ), me propose de lui offrir un verre à ma place. C'est à ce moment que je remarque une très jolie fille de taille moyenne, avec un sourire très sexy. Je discute avec elle et très vite, on transige sur 2000p. (je ne chercherai plus à négocier à 1500p. : trop goujat). Plus tard, pendant que cette fille va aux toilettes, je prendrai le numéro de téléphone d'une autre demoiselle assez accorte, pour mes exercices du lendemain après-midi .

J'aurai beaucoup de plaisir avec cette jeune femme (celle de la nuit). Très sûre d'elle, une démarche très sensuelle, des mimiques, un joli corps que je ne me suis pas lassé de caresser . Je la reverrai à quelques occasions au MBC les jours suivants : elle vient là très souvent.

A la différence de la deuxième, la troisième est une vraie occasionnelle. L'un des derniers soirs, vers 23 heures, je la remarque près de l'entrée. Un sourire ravissant, élégamment vêtue (ça peut dénoter au MBC), de très longs cheveux (dénoués, jusqu'aux fesses). Pour gagner du temps, et couper court à la boisson obligatoire, je lui dit que je l'attends dehors et qu'elle me suive quelques minutes après mon départ. Elle sera un peu gênée à l'entrée de l'hôtel par les formalités. C'est certain qu'elle a déjà fait ça, mais en tout cas pas trop souvent.

Je passerai là aussi un excellent moment : une fille complètement présente, qui cherche aussi un peu de plaisir et qui s'attarde au moment de partir. Peut-être celle que j'aurai préféré .

J'ai parlé de l'élégance des filles. Au Havana Café, la différence est flagrante. C'est un pays pauvre : ça se remarque aussi au fait qu'elles ne disposent pas toutes d'un téléphone portable. Elles ont des enfants à charge, l'élégance est un luxe pour la plupart d'entre elles.

Sur les 8 filles rencontrées au MBC, une seule expérience un peu moyenne : une fille qui m'a demandé de finir plus rapidement (la même voulait aussi à tout prix venir avec une amie). Mais l'ouverture continue, l'anglais parlé par toutes aurait pu faciliter 2 ou 3 rencontres par jour en moyenne. Non, à cause du manque de choix (même si c'est tout à fait possible de trouver une fille par jour à son goût) et à cause du processus : s'asseoir, boire une bière, papoter, payer éventuellement un verre, retourner à son hôtel (il paraît qu'il y a un discret hôtel de passe pour 700p. les 3 heures à quelques mètres du MBC)...

Une dernière anecdote au sujet d'une fille incontestablement occasionnelle, comme il y en a quelques unes : R., partant un jour avant moi, m'avait donné en partant le numéro de téléphone d'une des filles qui lui avait bien plu. Je l'appelle le dernier après-midi et la fille me répond en substance : "C'est R. qui t'a donné mon numéro ? Sait-il que tu appelles ? Ah, je pensais qu'on était amis"... Elle a fini par venir...

Pour les amateurs, un ou deux ladyboys au MBC et certaines filles pas franchement sympathiques ou très indifférentes quand on les aborde : sans doute celles qui se coltinent trop les touristes américains.

Le Havana Café et quelques réflexions sur DIA...

    Un soir, nous décidons d'aller dans un endroit plus chic et nous nous rendons au Havana Café, spot réputé où se retrouvent expatriés et filles vénales pour d'éventuelles transactions .

    A Makati, dans un grand centre commercial, le Green Belt 3. une allée de restaurants et de bars. A 2 pas du Starbucks, indice rassurant de civilisation , un bar avec une belle terrasse extérieure et un orchestre latino. On nous sert vers 22h un pichet de mojito.

    Il y a effectivement quelques petits groupes de filles qui discrètement nous lancent des regards . J'observe une petite dizaine de filles : impitoyablement, je décrète qu'aucune ne se détache vraiment du lot . Mais elles sont élégamment vêtues, davantage qu'à Ermita. Est-ce que ça suffit pour faire la différence ? En me rendant aux toilettes, en faisant la queue, j'ai d'ailleurs eu un contact très agréable avec une de ces filles, sans doute un peu éméchée comme moi mais pas je n'ai pas été tenté d'en faire plus. Mes camarades d'ailleurs eux aussi jouissent du mojito, de la musique, de l'ambiance, en jetant des regards de-ci de-là mais pas plus .
    Nous rejoignons nos pénates un peu plus tard, sans regret.

    Deux jours après, un dimanche soir, on retourne au Havana en espérant infirmer notre première impression : on a tellement envie d'être conquis par un beau regard ! Je reconnais peu ou prou les même filles que l'avant-veille. Peut-être une très jolie fille mais accompagnée par un occidental et qui est venue avec lui il me semble.

    La soirée sera marquée non par des philippines mais par 3 iraniennes assises à une table. A première vue, 3 jeunes femmes qui sortent, s'amusent à se faire un peu draguer par des hommes qui les abordent à 2 ou 3 reprises. La philippine avec laquelle j'avais échangé quelques mots le vendredi est venu s'asseoir à côté de moi, espérant bien me prendre dans ses rets ce soir. Me voyant tourner un peu trop souvent mon regard vers ces 3 jeunes femmes, elle me lance : "Iranian girls, very expensive". J'apprends donc d'un coup qu'elles sont iraniennes et sans doute peut-être occasionnellement vénales. 2 d'entre elles sont belles, dans les 23-25 ans. La troisième, plus âgée me plaisait moins mais attirait aussi les regards.
    Je vous vois venir : ce serait hors-sujet que je poursuive (baiser des iraniennes aux Philippines !!!).

    Pour finir sur le Havana, pour être plus complet, il paraît d'ailleurs que même mieux habillées, les filles du Havana Café demandent entre 2000-3000p pour un ST, ce qui reste raisonnable, si vous trouvez un sujet motivant .

    Et DIA ? Date in Asia, le site de rencontre gratuit ?
    J'ai fait l'erreur de m'inscrire un mois avant. Et je n'ai pas beaucoup filtré. Je me suis donc laissé happer par ce dévoreur de temps.
    Pourquoi discuter avec des filles de Davao, Bacolod, Zamboanga quand on sait que l'on va rester à Manille ?
    Pourquoi discuter avec des MILF de presque 40 ans habitant à l'autre bout de la ville ?
    Pourquoi discuter avec des ladyboys ?
    Pourquoi tenter de discuter avec des filles où la conversation achoppe après les banalités d'usage ?
    J'y ai donc passé beaucoup trop de temps, pour presque rien, et c'est de ma faute.

    J'ai été surpris du niveau culturel de certaines filles sur ce site : études supérieures, boulots intéressants...
    Le contact est facile : elles communiquent toutes en anglais même si certaines avouent qu'à l'oral, elles sont moins à l'aise. Elles proposent assez vite d'aller sur skype, whatsapp, etc... Les photos sont réelles.
    Beaucoup de ladyboys : la plupart l'annoncent, d'autres le révèlent assez vite. Certains au tout dernier moment (l'un de mes contacts (en anglais) : "au fait, je suis un ladyboy, ça te dérange ?", moi : "non, mais je ne suis pas intéressé sexuellement", il/elle : "ok", 10 minutes après, il/elle :"Je peux te sucer ? je ressemble vraiment à une fille !" ) et dans un cas, ne l'a jamais avoué mais je n'ai pas réussi à la voir (ses photos, sa taille aussi m'ont convaincu que c'était un mec).

    2 contacts qui me pressaient pour une rencontre mais avec une seule photo , je n'avais guère envie de me traverser la ville et de tenter l'aventure. Une autre était sympathique et intéressante mais sans doute impossible sur le plan physique. Une dernière, jolie sur mon écran de tablette , s'est dérobée à 2 reprises.

    Je pense qu'on peut arriver à quelque chose même pour des ST mais on se rapproche plus du processus classique de drague avec la patience qu'il faut et que je n'ai pas (et d'ailleurs, ça ne m'intéresse pas ; je ne cherche pas de moitié, même provisoire). L'un de mes camarades avait une proposition "ferme" à 1500p (25e) pour un ST : mais sur la base d'une seule et unique photo de la fille, il n'a pas eu envie d'aller plus loin.

    Vous vous dites : mais les pauvres n'ont pas baisé là-bas . Que nenni !

Voilà déjà un petit moment que je suis revenu.

Ce séjour à Manille ne m’a pas enthousiasmé. Il n’était pas non plus catastrophique, avec le recul, simplement un peu terne .

Personne ne va aux Philippines pour Manille et il faut avouer que cette ville a peu de choses pour elle. Le grand Manille, c’est 10 millions d’habitants , une grande densité de population, un regroupement de plusieurs villes. Passer d’Ermita à Makati est étrange…

C’est aussi un bizarre mélange d’Asie avec l’’Espagne (et l’Amérique sans doute) et j’ai souvent eu le sentiment à Ermita d’être un peu en Amérique du sud (leurs "jeeps", sorte de croisement entre taxis collectifs et minibus).

La pauvreté est flagrante mais contrairement à ce qui m’avait été dit, je ne me suis jamais senti en insécurité, même la nuit, même dans le métro bondé. Pas de voiture de luxe dans les rues. Un métro, d'ailleurs, dont certaines rames ne sont pas climatisées et dont les lignes ne sont pas connectées.

Partout des gardiens en arme : il m’a fallu au retour patienter une bonne vingtaine de minutes pour pouvoir passer la sécurité de l’aéroport international de Manille (qui ressemble fort à l'aéroport Tarbes-Lourdes-Pyrénées ). On fait aussi la queue à certaines heures pour entrer dans les malls, car les sacs sont vérifiés à l’entrée.

Il est facile de se déplacer en taxi et je n'ai pas trouvé les chauffeurs plus indélicats qu’ailleurs (l'un d'eux nous a d'ailleurs bien aidé, j'en parlerai !) : une course de 20-30mn revient à 200p, soit environ 3,5 euros. Quand on arrive à Manille, on paye 550p pour aller à Ermita, tarif officiel (on vous proposera aussi des courses à 1 600p !) et au retour, cela vous coutera 170p. La force du vent ? Le sens de rotation de la planète ?

Mais ce qui m'a surtout ennuyé, le reste étant futile, le fait frappant, c’est le peu de jolies filles que l’on croise dans les rues. Je savais déjà en arrivant qu'il me faudrait faire le deuil des grandes filles (la partie sud de l'Asie n'est pas réputée pour ses brindilles ). Mais mes déambulations dans les rues, les malls ne m’ont que rarement fait croiser des jolies filles, même de petite taille. Et encore, quand cela arrivait, ça pouvait être des ladyboys (avis aux amateurs !) !

Je pensais aussi que j'apprécierais davantage le fait que la plupart des filles parlent l'anglais : eh bien, non, pas d'intérêt, au final. Je préfèrerai toujours une conversation par regards interposés avec une beauté qu'un échange de banalités dans le pauvre anglais international avec une fille moyenne .

Je développerai plus tard le sujet qui nous intéresse vraiment avec quelques excellents souvenirs mais un investissement de temps pour une découverte de ce pays que moi et les 2 copains qui m’accompagnaient peut-être perdu car il n’est pas certain que nous ayons envie de revenir.

Un dimanche à Asuncion (5/6)

Le dimanche est un jour où la ville semble désertée. Les rues sont vides, silencieuses, on entend les petits oiseaux . Des promeneurs sur Estrella quand même, d'autant que le soleil est éclatant, après un samedi plutôt humide.

Je déjeune chez Bolsi, l'une des tables les plus réputées d'Asuncion et je bois un café ensuite au Lido bar que j'aime beaucoup aussi. Plusieurs jolies femmes attablées, d'autres achetant des plats à emporter... . Toujours cette attitude naturelle, d'un érotisme... euh... assumé.

La vie d'un amateur de jeunes dames ne s'arrête pas le dimanche. Notre hyper-activité peut-elle trouver un objet dans l'indolence d'un dimanche à Asuncion ?

Je réponds : oui ! J'avais lu des choses décourageantes de la part de quelques forumeurs mais ce ne sont que billevesées : il y a des endroits ouverts que j’ai fini par découvrir...

Caballero 903 : fermé.

Cecco Cora 217, 462, 525 : portes fermées vers 14H mais aussi 19H

Azara 479 vers 14h30. une fille qui ne pensait pas être choisie... La fille : un peu ronde mais visage agréable. Toujours la même chambre près d'une grande terrasse dans cet appartement délabré. Vers 20h, d'autres filles quand je suis passé dans la rue, qui chahutaient sur la terrasse donnant sur la rue.

Et enfin, l'incontournable Gozanos VIP 987 rep de Columbia (EEUU). Toujours le même jeune type avec le colt à la ceinture et la bombe aérosol à la main !! 4 filles faisables dont 1 blonde mais aucune ne détache. je choisis Mia. Petits seins, jolies fesses. qui embrasse à pleines bouche et langue . 25 minutes torrides . 100 000 PYG.

2 filles. A ma manière, je respecte la trève dominicale en ne cherchant pas de troisième larronne .

Quelques jours à Asuncion (3/6)

Ce périple vers Asuncion commençait bien : les hôtesses sur Tam Mercosur, filiale paraguayenne de Tam, étaient toutes jeunes et mignonnes, ce que je n‘ai jamais vu en Europe. Et à l'aéroport Silvio Pettirossi vers 11h, Cocacola accueille les passagers, représenté par deux très jolies filles qui distribuent bouteilles et sourires. Plus tard, sur Estrella, quelques belles filles et femmes sculpturales.

Je dépose mes affaires dans mon hôtel et commencent 5 jours de déambulations pédestres dans cette ville tranquille et assez dépaysante à mon goût.

Un mercredi, 14h30, Deseos agency, 14 de Mayo 1008 : 6 filles présentes. je choisis la plus grande Lina. 100 000 PYG pour 30mn. Le choix se fait dans une petite pièce à l'accueil. Néon bleuté, on y voit mal. La chambre est sombre avec un lit fatigué, Il y a une petite pièce d'eau et je reçois une serviette plus que mince. je n'ai pas pris le service "completo". Pas mal mais c’est ma première fois ici et je suis un peu décontenancé par le style du lieu. Mais je vais m’habituer.

Vers 16h, 495 sur Azara : l'adresse est devenu un "boy's club". Si ce n'était pas écrit, l'attitude du garçon à l'entrée ne pourrait laisser aucun doute : c'est bien, le Paraguay a l'esprit ouvert. ce type me dit que les filles, c'est à côté, au 479 (aussi donné par ISG). J'arrive : une grille métallique cadenassée et je me dis que c'est mauvais signe. Non ! un jeune back vient m'ouvrir. il ne parle pas anglais et me présente 5 filles : je choisis Vanessa, joli sourire, qui parle un peu anglais. en fait, c'est 90 000 PYG avec une boisson (whisky possible, amis dipsomanes !). Elle s’est révélée exceptionnellement chaude . Je n’ai hélas pu lui donner mes coordonnées Facebook comme elle me le demandait car je n’utilise pas ce truc. A noter que l’appartement délabré avait de magnifiques restes : ambiance particulière quand j’y repense.

Ce même jour, arrivée à 19h chez Gozanos VIP, au croisement de la rue Estados Unidos (EEUU) et Republica de Colombia, n° 987. Un type assez jeune me dit de repasser à 19h30 ; il fait déjà nuit à Asuncion. Vers 19h45 : un autre type m'ouvre, avec colt et cartouches à la ceinture. Très aimable cependant, il répand délicatement un peu de désodorisant dans la salle d'attente . Arrivent 3 filles : 1 mignonne, une un peu corpulente et une autre, moyenne. je choisis Joanna (photo du milieu, ressemblante), qui parait la plus indifférente. Mais en réalité, elle a été très amicale : partie de cul pas très sérieuse mais à 20 ans, elle a un joli corps . Pas très grande mais de jolies formes et un visage typé mais attirant : le genre de jeune nana qu'on a envie de baiser quand on les voit en jean dans la rue.
J'ai vu 3 autres filles dont une blonde qui quittaient un client dont 2 plutôt pas mal. J’y suis retourné, notamment le dimanche.


Un jeudi, 11h30, Naomi sur Cerro Cora/EEUU 525, je suis reçu par une vieille dame souriante. 5 filles présentes, 3 faisables. Je choisis Monsé (4ème photo à partir de la gauche, assez ressemblante) pour 30 mn. 80000 PYG. Correct sans plus. Corps un peu lourd. Douche avant et après dans pièce à côté. Assez professionnelle mais avec des moments d‘abandon .

A 13h, PY Escort 462 Cerro Cora/ Mexico. Un peu plus haut de gamme. Une assez jolie fille me fait entrer. La demi heure n’est pas possible. L’heure est à 150000 PYG. 6 filles présentes. 4 faisables. je choisis une blonde aux formes avantageuses. La salle de bains dans la chambre. La fille, Andrea (1ère photo de gauche, photo qui l'avantage un peu), a 27 ans et un corps de latina typique avec des fesses bien rebondies et une jolie poitrine. Elle est agréable et je m'en occupe pendant 40 mn . Excellente levrette. Je suis retourné dans cet endroit.

A 19h, 1565 sur Azara. Ce lieu a été signalé comme plus haut de gamme. Je suis reçu par un jeune type un peu anglophone. Le tarif est variable pour la demi heure selon les filles. 3 filles présentes. La première n'est pas très attirante : petite et brune. puis 2 blondes. la 1ère est à 100000 PYG et l'autre à 200000 : je choisis la seconde sans discuter le prix car ça ne fait pas grand chose malgré tout. Elle a un joli corps et une superbe chute de reins , de belles fesses , elle a un petit côté porn-star. Elle se dit argentine, elle met du lubrifiant. mais pour moins de 40€, exceptionnellement, c'est acceptable.

Après être passé par mon hôtel, je suis ressorti pour visiter un lieu à moins de 50m de l’hôtel (ça m’a rappelé la Chine !!) : 903 Caballero (Brittania). J'ai dérangé le spectacle de la télé à 22h30. 3 filles : une était assez désirable et avait de gros seins et un joli sourire . 7 000 PYG sans la sodomie pour une demi heure., soit 13 euros.


A 11h30, un vendredi, visite du Harem sur avenida Dr José Gaspar Rodriguez de Francia 226/Yegros. Facile d'accès encore une fois. Accueil par un garçon manifestement gay. 6 filles dont une pour moi se distingue un peu. Brune qui a pu être jolie à 16 ans mais déjà décatie : ventre, seins tombants. douche avant et après mais pour une fois, la seule durant mon séjour, petite odeur désagréable. Fille de bonne volonté ceci dit. j'ai donné 100 000 PYG pour une demi-heure. On m'a rendu 20 000 .

A 14h30, 217 Cerro Cora, l’agence New Elite. Une fille blonde, Tamara, me fait entrer. 4 autres filles sont là. Une jolie brune et 2 infaisables. je choisis Tamara qui a l'air très gentille. Jolie blonde, plutôt jeune mais déjà mère (visible à ses seins). J’ai pris une demi heure pour 100000. Très agréable moment car la fille a été très douce . Tout ça dans un vieil appartement délabré mais avec un reste d’élégance comme ailleurs. Salle de bain supérieure à la moyenne.

A 20h sur Azara 1270. Accueilli par un jeune colosse efféminé. 2 filles maigrichonnes Des escarpins trainant dans le couloir. les 2 filles, comme je partais sans choisir, se sont vite à nouveau déchaussées. Dommage : le drap sur le lit ne semblait pas trop vieux (et ce n'était pas un dessus de lit donc peut être changé plus souvent)

A 20h sur Azara 1340, un peu plus loin. Jolie maison. comme souvent, l'autocollant hot.com.py, confirme qu’on est au bon endroit. Accueilli par une dame âgée : 2 filles mais pas faisables : grands gabarits mais pour l'une trop forte, l'autre au visage ingrat.

Deux visites infructueuses : une première pour moi à Asuncion !!

A 20h30, j'arrive au 905 Azara. Hésitation, plusieurs portes à l'étage. en fait, elles doivent toutes donner sur le bordel : des issues alternatives pour empêcher que les clients ne se croisent; Accueilli par un type dans la trentaine, peut être aussi un peu gay. 3 filles. 2 blondes et 1 brune assez souriante iana. De jolis seins et pas de ventre : dans la chambre, tévé avec porno. salle d'eau à côté. Elle se douche et ne me le demande pas. Plutôt moyen somme toutes . 80000 PYG.


Un samedi de pluie. Immense ballade vers le Mercado 4, Avenida Mariscal Solano lopez, puis Avenida Choferes del Chaco pour rejoindre avenida Eusebio Ayala, qui est en fait une grande route nationale et qui abrite quelques bordels. Mais je n’ai pas eu beaucoup de chance et/ou c’était samedi.

Au 326 Eusebio Ayala, je réveille à 14H30 un type qui me dit qu'il n'y a rien.

Je ne vois pas le 270 aussi signalé sur une liste et il pleut un peu : je ne cherche pas trop.

Je me rabats sur le 228 EEUU. Au 1er étage, la porte est ouverte. l'autocollant hot.com.py. Une petite blonde infaisable m'accueille à 15h. Elle me présente 2 autres filles faisables. je prends pour 100 000 PYG (on oublie sans doute de me rendre la monnaie) une fille aux hanches généreuses et au joli visage. Pas de salle d'eau proposée et je crève de chaud suite à ma marche de 4h. Table de massage comme souvent dans ces lieux. Des draps sur le lit : combien de fois servent-ils ? La fille est très bien, participative .

Quelques autres tentatives d'après la liste de worldsexguide (un peu ancienne je crois) qui me font sillonner le Microcentro :

        Antequera 762
        Azara 561 : perruqueria, fermée à 23h ce samedi soir
        Colon 766, 767 et 791 : adresses inexactes ou il me manquait l'étage que je n'avais pas noté.
        Estrella 994 : pas osé sonner, ça avait vraiment l'air d'une maison de particuliers
        Manuel dominguez 762
        O'leary : 556, 757, 796
        Paraguani 757


Finalement sur Iturbe 1023, une de mes meilleures rencontres, même si elle a un goût un peu étrange, ce que je ne pouvais absolument pas espérer en découvrant l’endroit. Le « salon d'accueil » est dans un garage, mais équipé de canapé, d’une tévé ! 3 filles, 2 faisables dont une endormie avec jolie poitrine. Je choisis cette dernière. On s’isole dans un cagibi éclairé d’un néon rouge dont la porte ferme à peine. Une petite pièce d’eau très sommaire. C’est une fille jeune, sans enfant apparemment. Ca commence bizarrement : elle me demande si j'ai un préservatif. Elle me suce spontanément sans préservatif mais pas très longtemps. La partie de cul est à la fois intense et presque fusionnelle . Elle me remercie à la fin. 70 000 PYG (30 000 en effet rendus sur mon billet de 100 000 avec le sourire par la patronne qui est là quand je sors).

Le lundi, je retourne au 905 sur Azara à 11h30 : 6 filles. 4 ou 5 faisables. je choisis la première : très latina mais yeux clairs. jolies hanches, pas de maternité a priori. La pauvre est gênée par la chaleur. Moi aussi. le même galetas. Sexe un peu mécanique mais ces filles sont toujours bien disposées .

Lundi vers 17h30, je retourne au 462 Cecco Cora. La même charmante jeune femme m'accueille. 6 filles défilent. 1 ou 2 infaisables. je choisis Ariana (2ème photo à partir de la gauche, photo qui l'avantage un peu) pour 1h donc (la demi-heure n‘étant pas possible ici). Souriante. pas rasée (ça change !), hanches larges.. elle commence comme il faut : massage de mon ventre et de mes testicules. Excellent pour me réveiller. Très bon épisode sexuel.

Le mardi, jour de mon départ, je suis allé au 556 O Leary que je n’avais pas encore visité : à 10h30, un peu tôt, 2 filles pas faisables.

Je retourne au 217 Cecco Cora, là où était la blonde qui m'a accueillie et avec qui j'ai couché. cette fois ci, une non prostituée m'accueille. La blonde est là. je choisis une petite brune très souriante que j'avais déjà vue. Plutôt fine mais jolis seins pointus . Très délicate, silencieuse, elle a gardé ses les yeux fermés et s‘est magnifiquement cambrée . Elle restera aussi parmi mes très bons souvenirs de cette ville où la vie paraît si simple.

Asuncion, mes conclusions... pour commencer (1/6)

Voici un récit que j'ai posté ailleurs il y a 2 ans, lors de mon retour d'Amérique du sud. Je l'écris en français : pardonnez-moi  !

Je ne fantasme pas sur les latinas, l’insécurité endémique enAmérique du sud est un facteur rebutant et l’espagnol ou le portugais ne sonnent pas très exotiques à mes oreilles mais l’Amérique du sud me tentait comme « quelque chose à faire ».

L’Argentine me semblait être un bon choix mais je cherchais autre chose. Avec peu d’informations disponibles, j’ai choisi Asuncion et je n’ai pas regretté. Et pourtant les nos experts-maison de l’Amérique du sud étaient restés étonnamment muets sur ce pays (dédain ou méconnaissance pour ce pays trop petit ?). J’ai donc cherché mes renseignements sur ISG et sur ArgentinaPrivate.

Pour ceux qui croient que la découverte d’un pays dont on ne pratique de surcroît pas la langue doit se faire dans la macération et que seuls les initiés après plusieurs voyages ou guidés par un vétéran peuvent s’y amuser, le Paraguay n’est pas fait pour vous (tentez Bucarest par exemple !).

Ma grille d’analyse pour apprécier un lieu est simple :
    - facilité d'accès (temps, distance) des lieux de divertissement
    - beauté ou attrait des filles
    - taux d'"échec" ou d'insatisfaction
    - attitude des filles
    - coût direct et indirect (taxi, téléphone)

Asuncion est largement au-dessus de la moyenne sur chacun de ces points  :-P . Et il n’est pas exclu que j’y retourne .